Animateur publié il y a 2 ans. C'est un western légendaire. Cinquante ans après sa création, Il était une fois dans l'Ouest continue de susciter
L'homme qui tua Liberty Valance, ce soir à 21h15 sur C8. L'homme qui tua Liberty Valance est sans aucun doute un des plus grands westerns de l'histoire du cinéma et de la carrière de John Ford. Une réunion entre le maître et deux monstres sacrés du genre, James Stewart et John Wayne, aux côtés de Lee Marvin, Vera Miles, Woody Strode ou encore Lee Van Cleef dans un film d'une étonnante simplicité, mais qui reste profondément complexe, sensible et puissant. Décrié à sa sortie, considéré aujourd’hui comme une œuvre majeure dans l’histoire du cinéma et de la culture américaine du XXe siècle, L’homme qui tua Liberty Valance est un film qu'on ne se lasse jamais de regarder pour tout ce qu’il raconte. Il n'en restera qu'un IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST Même s'il s’est illustré avec des films d'autres genres, de la comédie dramatique au film d'aventure, John Ford restera toujours associé au western, auquel il a donné une grande partie de ses lettres de noblesse au cours de son immense carrière avec plusieurs grands classiques comme Trois sublimes canailles, La poursuite infernale, Le Massacre De Fort Apache ou encore La Prisonnière du Désert. Seulement, au début des années 60, le fondateur du mythe de l'Ouest américain approche des 70 ans et sa santé est déjà bien entamée par son cancer des poumons, qu'il traite à l'alcool et au tabac. Les temps ont changé, le cinéma aussi, et le western, comme les autres genres, a vieilli en même temps que lui. Une photo qui sent bon la poudre, le whisky et les déserts d'Arizona Après avoir signé Les Deux cavaliers en 1961, bien conscient que l’âge d'or du western touche à sa fin, John Ford se lance alors dans son prochain projet, dont il perçoit déjà la considérable ambition. Raconter, comme il l’a déjà fait, l'histoire de cette Amérique sauvage qui se retrouve confrontée au progrès.
Vousl'aurez compris, Il était une fois dans l'Ouest est un incontournable à avoir dans sa vidéothèque, ne serait-ce que pour l'extraordinaire bande sonore. Composée par le vieil ami de Leone : Ennio Morricone nous signe encore une fois un bande-originale à tomber par terre (le thème de Jill et celui de l'homme à l'harmonica sont superbes !). Je la mets au même niveau
Fantastique Horreur Gore À sa sortie sur PS2 en 2001, Silent Hill 2 a bouleversé les joueurs, sa bande originale composée par Akira Yamaoka y est pour beaucoup. Certaines œuvres filmiques ou vidéoludiques sont strictement indissociables de leur bande originale. La Victory Fanfare renvoie immédiatement à Nobuo Uematsu et à Final Fantasy comme L'uomo dell'armonica est à jamais lié à Il était une fois dans l'ouest. De la même manière, il suffit d'entendre les trois premiers accords de Theme of Laura pour savoir que les portes de l'enfer de Silent Hill 2 sont ouvertes, prêtes à happer et traumatiser les joueurs à tout jamais. Silent Hill 2 est un survival horror à l'état brut. La terreur y habite chaque recoin sombre, chaque coin de rue. Mais c'est aussi un jeu d'horreur qui cache une histoire d'amour, une quête d'identité, et une exploration des émotions humaines. L'OST de SH2 parvient à rendre tangible chacun de ces éléments. Il s'agit d'une BO tout en contradiction, allant du rock le plus lumineux aux expérimentations bruitistes les plus dérangeantes, pinacle de la carrière de Akira Yamaoka en tant que compositeur, où il montre l'étendue de son talent et son champ des possibles. Retrouvez notre classement des jeux de la saga Silent Hill La tête du rédacteur après la 50e écoute de l'OST de Silent Hill 2 Le maestro de la terreur Personnalité indissociable de la licence Silent Hill, Akira Yamaoka n'avait pourtant jamais envisagé de travailler dans le jeu vidéo dans sa jeunesse. Élève ni mauvais ni brillant, après son cycle d'enseignement secondaire, il intégrait la Tokyo Art School, équivalent des Beaux-Arts, à la fin des années 80. Fasciné par le design, il étudiait le design de produits et l'architecture d'intérieur. Un choix presque par défaut, car son coeur vibrait pour la musique. Tout en faisant partie d'un groupe de punk-rock lors de ses études, il a appris en autodidacte à composer de la musique électronique sur un PC grâce à un séquenceur. Il s'abreuvait alors de new-wave british comme Ultravox, Visage et Conny Plank. Mais Akira Yamaoka ne se limitait pas à un seul genre, et a voué également une passion sans borne au punk hardcore de Discharge, Chaos UK et The Exploited. Un grand écart stylistique qui allait devenir une des marques de fabrique du compositeur. Quand on sort du pit d'un concert de Discharge À tout juste 25 ans, le 21 septembre 1993, il a rejoint Konami pour travailler au sein de la section sound design et composition de la firme. Pour ses premières armes, il a livré l'OST de Sparkster, un jeu de plateforme-action sur Super Nes et Mega Drive. Un pur travail de commande dont le résultat est une BO légère et enjouée, à des années-lumière de l'univers de Yamaoka. Puis, il est baladé d'un poste à l'autre, tantôt sur des postes de sound designer sur certains titres Snatcher, Vandal Hearts, tantôt compositeur principal sur d'autres la version PS1 de Road Rage. Le passage du support 16 bits au support CD de la PlayStation a été une sorte d'épiphanie pour le musicien. Enfin, il n'était plus limité par les spécifications techniques des hardwares, et pouvait livrer des bandes originales à la hauteur de ce qui bouillonnait dans son cerveau. Quand, après le succès de Resident Evil, Konami a décidé de mettre en chantier le projet Silent Hill, Yamaoka a sauté sur l'occasion. Dans une interview accordée à Akira Yamaoka expliquait qu'il n'avait pas hésité un instant, y voyant la possibilité d'enfin s'exprimer pleinement "Même au moment de la planification du concept, je pensais que j'étais le seul capable de réaliser ce projet. J'ai été le premier à lever la main pour être sélectionné." Bienvenue en Enfer Une nuit en enfer La bande originale du premier Silent Hill a largement marqué les esprits grâce à son approche expérimentale et industrielle, aux antipodes des OST des Resident Evil ou Alone in the Dark. Largement inspirée par les travaux d'Angelo Badalamenti sur Twin Peaks, avec ses nappes sonores angoissantes et désincarnées, entrecoupées de mélodies plus légères, mais profondément mélancoliques, Akira Yamaoka est parvenu à donner une couleur sonore très particulière à Silent Hill. Dérangée et glauque, l'OST est à la limite du bruitisme, et certains morceaux sont composés de sons étranges presque indéfinissables, à l'instar du tordu Devil Lyric, qui semble tout droit sorti du cerveau torturé de Justin Broadrick de Godflesh ou d'un Trent Reznor au fond de la dépression la plus profonde. Une BO qui a contribué à construire l'identité même de ce que devait être Silent Hill une saga où l'horreur est viscérale, plus profonde que la concurrence. Pour Silent Hill 2, Yamaoka devait faire encore mieux. Une mission impossible qu'il releva pourtant haut la main. Encore plus que Silent Hill, SH2 devait offrir une plongée dans l'horreur des actions humaines, et dans l'horreur des sentiments humains. Le héros de SH2, James Sunderland, reçoit plusieurs années après la mort de sa femme une lettre de celle-ci lui demandant de la retrouver à Silent Hill. En dépit du bon sens, il se met en chemin vers la ville maudite, et au gré de rencontres étranges, glisse peu à peu en plein cauchemar. Pour SH2, Yamaoka a fait le choix de symboliser la torture de l'âme humaine, constamment déchirée entre le besoin de paix et les pulsions hétéro - ou auto-destructrices. Pour y parvenir, il choisit de diviser la bande-son entre un ensemble de sons et bruitages glauques qui semblaient tout droit sortis d'une boucherie chevaline, et des morceaux d'ambiance plus mélodiques, et pourtant pas moins terrifiants. Dès les premières secondes du morceau d'ouverture Theme of Laura, nul doute n'est permis. La patte de Yamaoka est bien là , le thème sonne comme un écho au morceau Silent Hill sur la BO de SH1, avec ces cordes mélodiques et pourtant à la limite de la dissonance. Pour marquer encore plus cette filiation, le compositeur y inclut même la mélodie du morceau titre de Silent Hill 1 de 200 à 215. Suivent les pistes White Noiz et Forest, deux pistes noyées dans des ambiances quasi spectrales, menées par de délicates mélodies de piano et de synthétiseur. Il se dégage une lourde mélancolie de ces deux morceaux, qui laissent déjà deviner le poids de la culpabilité de James. Le terme White Noiz n'est bien sûr pas choisi au hasard il s'agit techniquement d'un son mêlant tous les autres sons à la même fréquence. Ici, la métaphore indique que les sentiments de James sont mêlés les uns aux autres, brouillant sa capacité de jugement. Elle est aussi l'indication symbolique d'une porte ouverte sur un autre monde, fantasmé, où Mary, sa femme, serait toujours vivante. La véritable bascule dans cet autre monde se fait avec A World of Madness, mélodie entendue quand James rencontre Angela Orosco pour la première fois dans le cimetière. Les percussions arythmiques viennent y troubler la mélodie, perturbant le joueur en l'empêchant de pouvoir s'accrocher à quelque air que ce soit, à mesure que James perd pied et quitte sa réalité pour la vérité de Silent Hill. Un procédé que Yamaoka a utilisé plusieurs fois sur la BO afin de montrer qu'il est impossible de comprendre et d'accepter la réalité de Silent Hill, qui n'est pourtant que l'émanation du propre esprit du héros. heaven's night Alors que l'on pouvait s'attendre à une pure descente dans l'horreur, Yamaoka a choisi de prendre le public à contre-pied pour le reste de son OST. Il s'agit bien d'une plongée dans l'âme humaine, à la fois dans ce qu'elle a de plus beau, et de plus horrible. Les morceaux les plus légers et les plus torturés et violents vont alors cohabiter dans le même espace. Promise Reprise, entendu dans les appartements Blue Creek quand James rencontre une Angela suicidaire, Magdalene, joué après le décès de Maria dans l'hôpital, et Heaven's Night, qui hante le strip-club du même nom, sont des lumières au sein de la tracklist, des moments de quasi-apaisement, où le héros est pour ainsi dire libéré de ses tourments. Mais ceux-ci n'existent que pour le faire chuter plus durement. L'apparition des monstres au Blue Creek au son de Ashes and Ghost, avec ses effets distordus, ou la bascule dans le monde cauchemardesque au Brookhaven Hospital avec The Darkness That Lurks in Our Mind et ses sons de machines évoquant des lamentations, détruisent tout espoir. The Darkness That Lurks in Our Mind sonne comme une révélation les ténèbres sont dans les esprits plus que dans le monde réel. Là où la BO de Silent Hill 1 amenait les joueurs dans un gouffre de violence, l'OST de Silent Hill 2 joue sur la complexité des émotions pour semer le trouble. Les créatures grotesques que croise James au cours de l'exploration de la ville maudite ne sont en réalité que l'incarnation de ses propres démons intérieurs. La BO résonne comme la devise nietzschéenne "Si tu regardes longtemps dans l'abîme, l'abîme regarde aussi en toi". Après qu'il a été confronté à la vérité de la disparition de sa femme Mary, avec la chanson True, ses violons répondant à une boîte à rythme désincarnée, laissant le piano s'exprimer comme sur Promise Reprise, pour un climax émotionnel bouleversant, Yamaoka lâche les chevaux pour les quatre compositions accompagnant les quatre fins principales du jeu deux autres n'étant que des easter eggs. La fin "Leave", où James retrouve une dernière fois son épouse avant de quitter Silent Hill avec la jeune Laura, est vécue au son de Overdose Delusion, un morceau de rock classique dans sa construction, mais au final sursaturé. La fin "Maria", où James quitte la ville avec Maria, est illustrée par Promise, ballade désespérée, où les violons s'éclipsent au profit d'une guitare larmoyante. La dérangeante The Reverse Will, avec son rock faussement lumineux caractérise l'ending "Rebirth" où James ressuscite Mary, les paroles de la chanson n'y sont audibles qu'en passant la piste à l'envers. Quant à la fin canon, "In Water", qui voit James se suicider, elle est accompagnée par la furieuse Angel's Thanatos au riff de Metal syncopé lourd rappelant Pantera et Down. Une apocalypse sonore qui ne laisse aucun doute quant au sort qui attendait James depuis le début il n'était en réalité venu à Silent Hill que pour en finir. L'écoute de l'OST de Silent Hill 2 prouve qu'il existe bel et bien un style Yamaoka. Le compositeur s'affranchit de toute limite créative, et est capable de passer de la plus douce des mélodies éthérées au piano à une succession de bruits de machines quasi inaudibles. Il a presque à lui seul forgé l'identité de la saga Silent Hill. Konami l'a même promu au rang de producteur sur la saga dès le troisième opus, avant qu'il ne quitte le navire en 2009 pour "divergences artistiques". Depuis, il a rejoint GrassHopper Manufacture aux côtés de Suda 51 Killer 7 et Shinji Mikami Resident Evil. L'ambiance chez Konami depuis le départ de Yamaoka Étant donné la patte si particulière de Yamaoka, il n'est pas étonnant que Christophe Gans ait utilisé tel quel de nombreux titres des OST de SH1 et SH2 pour son film Silent Hill. Lui seul semble capable de restituer une telle ambiance infernale, tout en produisant une palette d'émotions aussi large. Si Silent Hill revient bien un jour, difficile de savoir qui pourrait être à la hauteur pour livrer une partition digne de celles du Maestro. Quel qu'il soit, celui ou celle qui prendra la relève risque de ne jamais se relever de la comparaison avec le travail de Yamaoka. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Ace titre, Il était une fois dans l’Ouest est son œuvre la plus radicale. Le réalisateur trouvait les westerns hollywoodiens trop bavards, trop frénétiquement montés. Ici, le
Par le à 17h46, mis à jour le à 17h46 Lecture 5 min. En deux salves, sept westerns italiens arrivent coup sur coup dans les rayonnages. Le meilleur et le pire… T Et maintenant, on l'appelle El Magnifico Produit dans la mouvance des Trinita, un western comédie qui n'est pas sans rappeler Le Pied Tendre, l'un des albums de Lucky Luke. Le Pied Tendre » en question Thomas More Terence Hill qui, laissant derrière lui ses titres de noblesse et domaines, débarque dans un Far West aux mœurs autrement plus archaïques. Son père mort depuis peu, il hérite d'une terre fertile que trois cow-boys aussi mal embouchés que généreux l'aident à protéger contre un gros propriétaire… Et, évidemment, l'aristocrate un peu brin décalé il roule à vélo, boxe dans les règles, lit Byron… de s'adapter aux usages locaux tout en contant fleurette à une belle autochtone. Un rien trop long il dure pratiquement deux heures, El Magnifico se montre nettement moins triviale que les Trinita. Si on y mange encore des faillots, les flatulences ne suivent pas. Deux ou trois belles bagarres de saloon, des seconds couteaux pittoresques et l'esquisse d'un pastiche des clichés sur fond de funérailles du Vieil Ouest qui trouvera son apothéose avec Mon Nom est Personne délimitent un divertissement aimable. Spécialiste du western italien auquel il consacre un livre devenu une référence, Jean-François Giré présente El Magnifico avec une érudition qu'il applique également à la préface de La Mort était au rendez-vous. T Et le vent apporta la violence… Bien que ses prestations dans le western italien soient nombreuses, Klaus Kinski n'y a que très rarement tenu des rôles principaux. Un des exemples qui confirment la règle Et le vent apporta la violence dans lequel il incarne un homme qui, ayant purgé une longue peine, sort de prison pour goûter au plat froid de la vengeance. Dans sa ligne de mire le malfrat, désormais un potentat local, responsable de l'avoir fait condamné à sa place. Et, tandis qu'une tempête souffle sur la région, le vengeur de passer à l'action selon des méthodes plus proches du film d'épouvante que du western classique. Un choix dont le mérite revient à Antonio Margheriti, réalisateur transfuge du fantastique gothique désireux de transcender les règles du genre par un traitement en rupture des habitudes. Galeries souterraines, détails morbides, atmosphère nocturne, clocher qui sonne le glas… Vraiment, un film à la lisière du fantastique. Non aussi prendre des airs de tragédie antique le fils innocent solidaire des fautes de son père, une belle réussite à laquelle contribue évidemment le magnétisme de Klaus Kinski . T La Mort était au rendez-vous Si Giulio Petroni n'est que très rarement cité parmi les grands artisans du genre, il élève La Mort était au rendez-vous à un excellent niveau. Tandis que John Phillip-Law joue à fond le mimétisme avec Clint Eastwood et le réalisateur le filme comme tel, Lee Van Cleef incarne Lee Van Cleef, constamment en majesté, impassible dans le rôle d'un bandit qui, après quinze ans de bagne, entreprend de se venger des anciens complices qui l'ont abandonné, des notables désormais. Les mêmes que le premier recherche, assassins de ses parents… Malgré un différend à régler, les deux pistoleros font front commun… Scénario classique certes, mais bien mené et, surtout, bien illustré dans un style dont la photographie accentue les caractéristiques plastiques et le goût du réalisateur pour le baroque. T Pour une poignée de nanars Parallèlement à Et le vent apporta la violence, M6 Vidéo exploite quatre autres westerns italiens, du nul au médiocre. Le plus consternant du lot Au-delà de la haine présenté dans une seule version italienne. Figurants et comédiens ahuris, accessoires d'opérette, plans loués à d'autres productions, mise en scène indigente… Récit des retrouvailles d'un frère militaire et d'une sœur désormais squaw des années après que les indiens aient massacré leur famille, le film s'avère risible du début à la fin. Signés du même Rafael Romero Marchent, Un par un… sans pitié et Deux Croix pour un implacable se hissent plusieurs crans au-dessus. Le premier à illustrer une énième histoire de vengeance parents tués, sœur captive…, le second à courir après un chargement d'or que convoite le supposé fils d'un colonel nordiste accusé de son vol… Avec indulgence et un zeste de nostalgie pour les plus anciens, deux films tout de même regardables ». Mieux ficelé, par Nando Cicero futur pilier de la sexy comédie italienne, Professionnels pour un massacre s'attache, dans le cadre de la Guerre de Sécession, au cas de soldats sudistes qui, pour avoir déjà déshonoré l'uniforme qu'ils portent, reçoivent pour mission d'arracher aux nordistes un convoi d'or, ceci sous la supervision d'un officier à la moralité guère plus reluisante… Quoi que nettement sous influence l'un des héros présente la même coiffure de Clint Eastwood dans les Sergio Leone, un western spaghetti acceptable. Disons dans l'honnête moyenne des sous-produits qui, à l'époque, se produisaient à la chaîne. T El Magnifico et La Mort était au rendez-vous actuellement disponibles en DVD chez Sidonis/Seven 7. T Et le vent, Professionnels, Deux Croix et Un par Un actuellement disponibles en DVD chez M6 Vidéo. Bourse Le 29/08 à 15H56 CAC 40 6222,42 -0,83%
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