403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID oMJTlO4DYERr7JshCFlC-aRUPxOQoUeAmsLb1yeJk2ETj7C1p_XVtQ==
létude de Me Aloyse May, 31, Grand-rue, partie requérante, contre Commission des Communautés européennes, représentée par MM. Enrico Traversa, membre du service juridique, et Géraud de Bergues, fonctionnaire national détaché auprès de la Commission, en qualité d'agents, ayant élu domicile à Luxembourg auprès de M. Carlos Gómez de la Cruz, membre du
Titre Les Affaires du Club de la Rue de Rome janvier-août 1891 Autrice fictive Adorée Floupette Nouvelles L’Étrange chorée du Pierrot blême » Léo Henry ; L’Effroyable affaire des souffreuses » Raphaël Eymery ; Coquillages et crustacés » luvan ; Les Plaies du ciel » Johnny Tchekhova Éditeur La Volte [site officiel] Date de publication 23 janvier 2020 Synopsis Jamais sans doute n’a-t-on connu personnalité plus énigmatique qu’Adorée Floupette, ni ouvrage plus mystérieux encore que son propre auteur que ces Affaires du club de la rue de Rome écrites par cette même Adorée Floupette. Ces enquêtes composent une saga d’aventures historiques prenant place dans le Paris fin-de-siècle, entre les brumes de la gare Montparnasse et les berges de Seine encombrées par les bouquinistes d’époque. Jadis intitulé M***, 1890’s, ce recueil de mystères policiers met en scène Stéphane Mallarmé, Pierre Louÿs ou Octave Mirbeau, sur la piste de disparitions inexpliquées ou de crimes surnaturels. Autour d’eux règne un Mal ambigu, indéfinissable et effroyable, dont on ne sait s’il se joue des détectives ou du lecteur. SUIVRE LE CLUB DE LA RUE DE ROME, C’EST ENTRER DANS UN DÉDALE MYSTIQUE DONT ON NE RESSORT PAS TOUJOURS SAUF. ET PAS TOUJOURS TRÈS SAIN VOUS VOILÀ PRÉVENUS. Une inquiétante épidémie aux symptômes mortels qui frappe les jeunes filles. Un Pierrot lunaire s’évaporant sous les yeux de ses poursuivants. Une tête qui trône sans corps à la manière d’un sphinx d’outre-tombe. Seuls d’authentiques enquêteurs, familiers de l’horreur et du fantastique, sauraient résoudre ces affaires qui nous plongent chacune à sa manière dans une surprenante spirale macabre. C’était la première fois que le Maître lui confiait une tâche à responsabilité une occasion immanquable de faire ses preuves au sein du Club de la rue de Rome. Une fois n’est pas coutume, les éditions La Volte éditent durant cette année 2020 un recueil de nouvelles sous un pseudonyme collectif Adorée Floupette. Elle nous présente ses Affaires du Club de la Rue de Rome. Principe très méta Les Affaires du Club de la Rue de Rome sont une aubaine. Tout d’abord pour quatre auteurs Léo Henry, Raphaël Eymery, luvan et Johnny Tchekhova qui ont l’occasion de réunir leur plume pour créer un univers commun, ensuite pour Adorée Floupette et ses disciples, car cette autrice méconnue du début du siècle dernier a, ô grand malheur, vu son œuvre être disséminée aux quatre vents par les hasards de l’histoire, c’est Léo Henry, grâce à bien d’autres hasards, qui a pu réunir quelques notes ça et là afin de reconstruire des récits malheureusement perdus. Enfin, c’est une aubaine pour de nombreux auteurs de la fin du XIXe siècle, car ils sont réunis en ces pages par le truchement de quelques aventures scabreuses le Club de la Rue de Rome ressemble à une société secrète où Stéphane Mallarmé règne en Maître, recrutant comme il l’entend des enquêteurs de l’étrange qui ne sont autres que des écrivains bien connus Oscar Wilde, Alphonse Allais, Octave Mirbeau, Arthur Rimbaud et bien d’autres à découvrir. Ces enquêtes sont l’occasion de fouiller le Paris de la fin du XIXe siècle et de plonger dans les affres du symbolisme et du décadentisme, français comme anglais. Un recueil au goût étrange Les quatre nouvelles qui se succèdent entre janvier et août 1891 sont très cohérentes, mais optent pour des thématiques assez rudes. L’Étrange chorée du Pierrot blême », de Léo Henry, commence doucement en nous narrant l’enquête dans certains cabarets parisiens d’Alphonse Allais et surtout Jane Avril pour élucider le mystère » d’un Pierrot qui inquiète fort le Maître du club de la rue de Rome ; l’enquête devient burlesque quand se mêlent les danses et les vapeurs d’absinthe. Puis L’Effroyable affaire des souffreuses », de Raphaël Eymery, nous emmène dans une face sombre de certains écrivains, notamment britanniques pour déjouer un mystère où de jeunes fillettes souffrent le martyr, le Maître fait appel à Oscar Wilde et à ses amis décadentistes. Le Coquillages et crustacés », de luvan, aborde la fascination de sociétés secrètes pour l’obscur et le grandiloquent, ici en lien avec l’univers marin. Enfin, Les Plaies du ciel », de Johnny Tchekhova, misent sur les mésaventures de Judith Gautier dans un Paris hanté par les morts grotesques et monstrueuses de poètes en détresse. Ressenti Clairement, nous sommes, avec ce recueil, dans un exercice de style très marqué. Le symbolisme est parfois difficile à comprendre, tant il mise sur l’abscons, notamment cette obsession pour le personnage de Stéphane Mallarmé qu’on peut à peine cerner, malgré quatre récits dans son giron. Le premier récit, celui de Léo Henry, est probablement le plus abouti ; le deuxième récit, de Raphaël Eymery, a lui aussi des qualités littéraires certaines, par contre le propos, l’intrigue monopolisent l’attention. Ainsi, le fait de suivre des écrivains aimant s’entourer constamment de petites filles pour leur faire le thé et leur raconter des histoires trouble un brin, mais les entendre rabâcher, sans vis-à -vis, que les femmes ne sont que flétrissures passé 12 ans, bon… Voilà . Même en sachant pertinemment que les autrices et auteurs de ce recueil ne sont pas débauchés comme leurs personnages, ça fait quand même rude à lire. D’ailleurs, je crois bien que la lecture de cette deuxième nouvelle m’a tellement gêné par moments, qu’enchaîner sur les deux suivantes leur en a coûté. Coquillages et crustacés », de luvan, ne me laisse pas un souvenir impérissable, loin de là ; comme dans Susto, l’autrice m’a malheureusement perdu avec son style ; ses idées ont l’air captivantes, mais sa façon de les placer me les rendent cryptiques, c’est dommage. Enfin, Les Plaies du ciel », de Johnny Tchekhova, semble un premier texte publié tout aussi intéressant mais qui ne gagne pas forcément à se trouver en dernier dans ce quatuor. D’une façon générale, les idées qui surnagent me transportent plutôt les conditions de vie des classes populaires dans un Paris déshumanisé et embourgeoisé, la dureté du XIXe siècle en matière d’inégalités femmes-hommes, la corruption morale et physique de nombreux écrivains de l’époque donnant lieu à des écrits troublants le fameux etc. Mais, pour les apprécier, il est nécessaire de surpasser une écriture volontairement chargée, misant sur le cru et le grotesque jusqu’à l’écœurement les vomissures de toutes les parties du corps sont légion. J’imagine très bien que ces récits montrent les abus du décadentisme du peu que j’en connais en tout cas, mais qu’il est difficile de trouver un contrepoint à ces abus dans ces récits ! Anecdotique sûrement, mais intéressant quand même les rares moments positifs sont ceux où c’est une protagoniste Judith Gautier ou Jane Avril par exemple qui vit l’action. Ces écrits retrouvés » d’Adorée Floupette pourront fasciner autant que lamenter, tant ils veulent amener le lecteur à l’hermétisme bien connu du poète Mallarmé ; malheureusement, cela peut être le lecteur qui peut se sentir à hermétique à cette littérature quand c’est poussé à l’extrême, c’est dommage. Cette critique est la 26e de ma participation au Projet Maki 2020.
Carl’histoire de Philippe Dussaert (1947-1989), plasticien à l’origine du mouvement vacuiste dans les années 80, et l’affaire que suscita la vente publique de sa dernière œuvre, sont l’occasion pour l’auteur-acteur de répondre avec humour, pertinence et impertinence, à toutes les questions que se pose aujourd’hui le profane en face de l’œuvre d’art contemporain
Dans le destin d’Hassan Iquioussen, un Darmanin peut en cacher un autre. Bien avant que le ministre de l’Intérieur ne fasse éclater l’affaire Iquioussen » en annonçant, il y a un mois, son expulsion, cet imam fondamentaliste faisait justement affaire » avec… un membre de sa famille ! Selon nos informations, le prédicateur de 58 ans, fiché S depuis dix-huit mois, a acheté il y a près de deux décennies son fief de Lourches, dans le Nord, à l’un des oncles du premier flic de France. […] Près de Valenciennes, l’immense propriété de Lourches, longtemps détenue par l’entreprise EDF, hébergeait au début des années 2000 les activités de transport du parent du ministre, Claude Darmanin, aujourd’hui octogénaire. Elle a tapé dans l’œil du religieux réputé proche des Frères musulmans, qui résidait à deux pas de là . L’acte de vente de l’ ensemble immobilier industriel », que nous nous sommes procuré, établit la transaction le 27 mars 2003 entre la société Darmanin Père & Fils, dirigée par le tonton » paternel de Gérald Darmanin, et Hassan Iquioussen et sa femme Zaina, née à Casablanca ». […] Le père de cinq garçons s’excuse depuis son domaine de 3,5 ha, comportant trois immeubles défraîchis, dont l’un de 2000 m2. C’est tellement grand qu’il faut une voiture pour en faire le tour », s’amuse un ancien ami. Le patriarche y élève les chèvres, vaches et moutons qui valent au lieu d’être qualifié de ferme » dans les environs. L’an dernier, Hassan Iquioussen a été condamné à une peine de trois mois de prison avec sursis pour un abattage rituel irrégulier. […] Gérald Darmanin n’était pas au courant, il s’agit d’un oncle qu’il n’a pas vu depuis de très nombreuses années, balaye l’entourage du ministre. Évidemment, ceci n’a aucun rapport avec la conduite de ses actions. Dans le clan du Marocain, le ton se fait plus caustique. Soufiane, le fils aîné, se gausse On peut dire que les Darmanin ont contribué à l’enrichissement de la famille Iquioussen ! » […] Le Parisien En Lien
Unesérie de meurtres inexpliqués se produit au 13 rue de Paris. Heureusement, la police scientifique intervient, et bientôt le mystère sera levé Elèves d
En quelques jours, son visage a fait le tour des réseaux sociaux. Mennel Ibtissem, brillante candidate de "The Voice" TF1 a finalement quitté l'émission de télé-crochet. Au coeur d'une violente polémique, la jeune femme au timbre de voix cristallin a annoncé son départ dans une vidéo postée vendredi 9 février, sur Facebook. La raison ? Mettre un terme à la controverse née après l'exhumation par certains internautes d'anciens messages postés sur son compte Facebook, après les attentats survenus à Nice et à Saint-Etienne-du-Rouvray, en juillet 2016. Avant elle, Cotillard ou Kassovitz ont proféré des énormités sur le 11 SeptembreLa suite après la publicité 1Une prestation remarquée Les téléspectateurs ont découvert samedi 3 février, Mennel, jeune chanteuse de 22 ans, aux traits angéliques et à la voix claire. Son interprétation de "Hallelujah" de Leonard Cohen, mêlant l'anglais et l'arabe, séduit. Sur le plateau d'abord les trois membres du jury se sont retournés, signifiant - selon les règles du télé-crochet - qu'ils souhaitaient l'intégrer dans leur équipe. Sa prestation est également commentée et saluée le soir-même par de nombreux téléspectateurs, notamment sur Twitter. 2Un passé numérique déterré Dès le lendemain, des internautes - certains sans doute contrariés par le port d'un voile - explorent le passé numérique de la jeune femme. Sur Facebook, ils déterrent des messages datant du 15 juillet 2016. Au lendemain de l'attentat de Nice, Mennel écrit "C'est bon, c'est devenu une routine, un attentat par semaine ! Et toujours pour rester fidèle, le 'terroriste' prend avec lui ses PAPIERS d'identité. C'est vrai que quand on prépare un sale coup on oublie SURTOUT PAS de prendre ses papiers PrenezNousPourDesCons." Autre message exhumé le 1 août, soit une semaine après l'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray, où la jeune femme écrit que "les vrais terroristes c'est notre gouvernement". Il n'en fallait pas plus pour que des groupuscules d'extrême droite - en tête le Bloc identitaire - se saisissent de l'aubaine. Ils relaient avec gourmandise ses messages, condamnant pour certains une apologie du terrorisme. La polémique ne se limite pas à la fachosphère. Trois jours après la prestation de la candidate, la colère gagne l'association des victimes de l'attentat de Nice, "La promenade des anges" qui se dit "choquée par les propos tenus" par la chanteuse et demande à TF1 de "donner une suite exemplaire". La suite après la publicité 3 Les excuses de la jeune femme La polémique enfle on prête à la jeune femme des sympathies islamistes. Le lundi suivant sa prestation, Mennel tente une première fois de s'expliquer et souligne qu'on lui "prête des intentions qui ne sont pas les [siennes] et qui ne reflètent aucunement [sa] pensée". Forcée de se justifier, elle rappelle encore "être née à Besançon" et "aimer la France" et son "pays". "Je condamne bien évidemment avec la plus grande fermeté le terrorisme. C'était la raison de ma colère. Comment imaginer défendre l'indéfendable". Mercredi, la jeune femme présente formellement ses excuses et assure que ses messages "étaient l'expression d'une peur qu'[elle] partageait seulement à cette époque, avec [ses] amis sur ce réseau". Et d'expliquer "regretter profondément ses messages". "Le soir des attentats de Nice, j'avais de la famille sur la promenade des Anglais et j'étais choquée, bouleversée, et ne comprenais pas pourquoi cet attentat n'avait pas pu être empêché par les autorités. Deux ans après, j'ai mûri et je mesure le manque de réflexion de ces messages. Je comprends que ces messages choquent et je m'en excuse". Des excuses qui ne suffiront pas à éteindre la controverse. 4Poussée vers la sortie La colère ne désemplit pas sur les réseaux sociaux. Près d'une semaine après sa première prestation. Poussée vers la sortie, Mennel annonce finalement son départ de l'émission. Dans une vidéo publiée sur Facebook, elle explique "n'avoir jamais songé à blesser qui que cela soit". Et d'ajouter que "la seule perspective que mes propos soient source de peine me heurte, j'ai donc pris aujourd'hui la décision de quitter cette aventure". Embarrassée, la société de production de l'émission, ITV Studios France, a déclaré de son côté, dans un communiqué, que "malgré des excuses sincères, l'environnement restait trop pesant". Et maintenant ? Le départ de la candidate pourrait entraîner des complications à la production de l'émission. Car les trois quarts de la saison 7 de l'émission ont déjà été enregistrés. Interrogée par LCI, la direction de TF1 reconnaissait que la situation était "complexe". Mennel a en effet déjà enregistré des duels contre une autre candidate. Faut-il supprimer son passage et effacer également celui de son adversaire ? En attendant, les messages et tribunes en soutien à la jeune femme se sont multipliés.
Lavérité sur l’affaire des manuscrits perdus de Céline. C’est la fin d’un feuilleton littéraire. Les précieux manuscrits (« Guerre ») de l’auteur du « Voyage » étaient entre les
Affaire DSK L'affaire DSK a connu de multiples rebondissements depuis son arrestation le 14 mai. Retour sur les principaux événements. Dans l'après-midi du vendredi 13 mai, Dominique Strauss-Kahn se présente à la réception de l'hôtel Sofitel de la 44e Rue, dans Manhattan, à New York, et prend une suite à 3 000 dollars 2 000 euros la nuit, qu'il obtient pour 525 dollars 360 euros, selon une source policière. La suite 2806 comprend un hall d'entrée, une chambre, une salle de réunion et un salon. Samedi 14 mai Vers midi 18 heures à Paris, une femme de chambre de 32 ans entre dans la suite occupée par Dominique Strauss-Kahn. Selon la plainte déposée par l'accusation, c'est à ce moment-là que se déroule l'agression dont est accusé le directeur général du Fonds monétaire international FMI. La femme de chambre parvient à sortir de la chambre et signale l'incident. Dominique Strauss-Kahn quitte la suite, et selon ses avocats, il déjeune ensuite en compagnie de sa fille dans un restaurant proche du Sofitel. La sécurité du Sofitel alerte la police, selon une source proche de l'enquête. Vers 14 h 15, Dominique Strauss-Kahn se rend à l'aéroport international John F. Kennedy pour embarquer à bord d'un vol Air France à destination de Paris. Selon la défense, il a réservé un siège à bord de ce vol "approximativement une semaine plus tôt". Quelques minutes avant le décollage, la police du Port Authority of New York & New Jersey, qui gère notamment les aéroports du secteur, monte à bord de l'appareil dans lequel se trouve Dominique Strauss-Kahn et l'interpelle. DSK sort de l'avion et les autorités portuaires le remettent à des enquêteurs de la police new-yorkaise. Le directeur général du FMI ne fait aucune déclaration et réclame un avocat. Il est transféré à la Special Victims Unit, une unité spéciale qui enquête sur les crimes à caractère sexuel. Dimanche 15 mai Dominique Strauss-Kahn est inculpé d'agression sexuelle, tentative de viol et séquestration. Il passe la nuit dans une cellule de la Special Victims Unit SVU. Pendant l'après-midi, la femme de chambre arrive au siège de la SVU. Elle identifie Dominique Strauss-Kahn comme étant son agresseur lors d'une"séance classique d'identification au milieu d'autres personnes", précise un porte-parole de la police new-yorkaise. Tard le soir, menottes aux poignets, DSK est emmené au Kings County Hospital de New York, à Brooklyn, où il est examiné par des experts médico-légaux spécialisés dans les affaires d'agression sexuelle. Il est ensuite transféré au dépôt du palais de justice de Manhattan. Lundi 16 mai A la mi-journée, la juge Melissa Jackson refuse la demande de libération sous caution et ordonne le placement en détention de Dominique Strauss-Kahn. Il est transféré à la prison de Rikers Island. A lire également L'inculpation de DSK, une collection d'articles du Monde réservée aux abonnés. Mercredi 18 mai Dominique Strauss-Kahn démissionne de son poste de directeur général du FMI. "Je démens avec la plus grande fermeté possible toutes les allégations portées à mon encontre", écrit-il dans sa lettre de démission. Jeudi 19 mai Le juge Michael Obus accorde à l'ancien ministre socialiste une libération sous caution. Son montant est fixé à un million de dollars 700 000 euros, avec un dépôt de garantie de cinq millions de dollars 3,4 millions d'euros. Dominique Strauss-Kahn sera assigné à résidence vingt-quatre heures sur vingt-quatre et devra porter un bracelet électronique. Un grand jury confirme son inculpation. Vendredi 20 mai Dominique Strauss-Kahn quitte Rikers Island et s'installe à titre provisoire dans un appartement sur Broadway, à proximité de Wall Street et de Ground Zero. Lundi 23 mai Dans une lettre adressée aux fonctionnaires du FMI, Dominique Strauss-Kahn se dit confiant, assure que la vérité éclatera et qu'il sera innocenté. Mercredi 25 mai Dominique Strauss-Kahn s'installe dans une maison de ville du quartier de Tribeca. Le loyer mensuel est estimé à 50 000 dollars 34 000 euros. Lundi 6 juin Comme attendu, Dominique Strauss-Kahn plaide non coupable lors d'une nouvelle audience judiciaire. Jeudi 30 juin Le New York Times affirme que les accusations portées contre Dominique Strauss-Kahn sont sur le point de s'effondrer. Une nouvelle audience, impromptue, devant le juge Michael Obus est programmée le lendemain. Vendredi 1er juillet A l'issue d'une audience de dix minutes, le juge annule l'assignation à résidence de Dominique Strauss-Kahn et ordonne la restitution du versement de la caution de 6 millions de dollars 4 millions d'euros – dont un million en espèces – qui lui avait permis de ne plus dormir en prison. Ce revirement fait suite à une lettre des services du procureur Cyrus Vance listant une série d'éléments de nature à entacher la crédibilité de la femme de chambre, Nafissatou Diallo. La prochaine audience reste fixée au 18 juillet. Lundi 4 juillet Après avoir hésité à le faire mi-mai, la journaliste et écrivaine Tristane Banon annonce qu'elle va porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn pour tentative de viol en 2003. Les avocats de Dominique Strauss-Kahn promettent en riposte une plainte pour dénonciation calomnieuse. Vendredi 8 juillet Selon le New York Times, durant la nuit précédant son arrestation, Dominique Strauss-Kahn a invité, séparément, deux employées du Sofitel dans sa suite, ce qu'elles ont refusé. Des témoignages corroborés par des images des caméras de vidéosurveillance. Lundi 11 juillet Tristane Banon est entendue par les enquêteurs. L'audience de Dominique Strauss-Kahn est reportée au 1er août. Lors d'une conférence de presse, deux jours plus tard, son avocat William Taylor admet que de l'ADN du sperme a été retrouvé dans la chambre. Mais il "pense qu'il n'existe aucune preuve" d'un rapport sexuel forcé. Mardi 19 juillet L'un des avocats de Nafissatou Diallo, Kenneth Thompson, demande à être reçu, avec le défenseur de Tristane Banon, David Koubbi, par le procureur Cyrus Vance. L'entretien dure trois heures. David Koubbi indiquera avoir refusé de partager avec le procureur les éléments du dossier de sa cliente, et démentira qu'elle ait été convoquée pour témoigner dans la procédure américaine. Lundi 25 juillet Nafissatou Diallo sort de son silence. Dans des entretiens à l'hebdomadaire Newsweek et à la chaîne ABC, elle contre-attaque et détaille sa version des faits. Un de ses avocats annonce le dépôt d'une plainte au civil dans les prochains jours, en vue d'obtenir des dommages et intérêts. Mardi 26 juillet Les avocats de Dominique Strauss-Kahn acceptent un nouveau report, au 23 août, de l'audience qui avait été programmée le 18 juillet puis le 1er août. "Nous comprenons que le procureur continue d'enquêter. Nous espérons que, d'ici le 23 août, il conclura à un non-lieu", déclarent-ils. Si l'audience est maintenue, elle devrait permettre au juge de donner une date pour le dépôt des motions des deux parties défense et accusation et une date théorique pour l'ouverture du procès. Mercredi 27 juillet Nafissatou Diallo se rend au bureau du procureur de New York. Lundi 8 août Nafissatou Diallo dépose plainte au civil contre Dominique Strauss-Kahn pour obtenir des dommages et intérêts après "l'agression violente et sadique" dont elle aurait été victime. La plainte de la femme de chambre de 32 ans d'origine guinéenne évoque "le versement de dommages et intérêts d'un montant à déterminer lors du procès", en réparation de préjudices moraux et physiques. Mardi 16 août L'Express publie le rapport médical de Nafissatou Diallo, établi peu après son agression sexuelle présumée par Dominique Strauss-Kahn, et qui impute ses blessures à un viol. Le document inclut dans la dernière page un schéma de la zone vaginale de la victime, relevant l'existence d'un traumatisme. Les avocats de Dominique Strauss-Kahn ripostent. "La conclusion du rapport de l'hôpital est basée presque exclusivement sur les propos [de la victime présumée] qui a prouvé de manière répétée qu'elle n'était pas crédible", écrivent William Taylor et Benjamin Brafman dans un communiqué. Quant aux "descriptions physiques" de la plaignante, "[ce] ne sont pas du tout des blessures et [elles] peuvent avoir été provoquées par de nombreuses autres causes qu'une agression sexuelle, y compris un rapport sexuel consenti plusieurs jours avant l'incident", estiment les avocats de DSK. Vendredi 19 août Citant des sources proches du dossier, deux journaux américains, le Wall Street Journal et le Daily Beast, affirme que des discussions secrètes ont eu lieu entre les avocats de Dominique Strauss-Kahn et ceux de Nafissatou Diallo dans les dernières semaines de juin en vue d'un accord financier contre le classement de l'affaire. Kenneth Thompson, l'avocat de Mme Diallo, dément vigoureusement ce qu'il qualifie d'"allégations". Dimanche 21 août Le New York Post affirme que le procureur chargé de l'affaire DSK, Cyrus Vance, demandera mardi 23 août au juge d'abandonner toutes les poursuites contre l'ancien patron du FMI. A lire également, sur la seconde phase de l'affaire, la collection Dominique Strauss-Kahn, coup de théâtre et conséquences, une sélection d'articles du Monde réservée aux abonnés. Le avec agences Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
SéjoursAffaires Grenoble Marie Curie (Sejours & Affaires Grenoble Marie Curie) - Séjours&Affaires Grenoble Marie Curie de 2 étoiles procure 101 chambres fonctionnelles près de Grenoble École de management. L'emplacement de l'hôtel vous amènera facilement au Musée de l'Ancien Évêché en 5 minutes en voiture et à l'Association Casamaures en moins de 5 minutes
Contacts Code QR, vCard Téléphone Non renseigné Adresse 31 rue Gambetta, Nantes, 44000 Arrêts et stations de transports en commun proches 100 mTrébuchet 190 mSaint-Clément 260 mBouteillerie Catégories Carte Vue de la rue Informations professionnelles Accepte les réservations Oui Livraison Non À emporter Non Cartes de crédit acceptées Oui Accessible aux personnes à mobilité réduite Oui Tenue vestimentaire Décontracté Alcool Bière et vin Terrasse Oui Wi-Fi Non Aujourd'hui Aujourd'hui 830 – 2000 Fermé en ce moment Heure locale Nantes 2237 vendredi 26 août 2022 Horaires d'ouverture lundi 830 – 2000 mardi 830 – 2000 mercredi 830 – 2000 jeudi 830 – 2000 vendredi 830 – 2000 samedi 830 – 2000 dimanche 830 – 2000 Lieux apparentés Explorez des lieux similaires 9 rue Dugommier quartier Copernic Rue de Bel-Air Marché de Talensac Alentours Près de cet endroit 4 rue Lorette de la Refoulais 2 bis rue Georges Clemenceau 2 bis rue Georges Clemenceau 2 bis Rue Georges Clemenceau 7 avis sur Une Affaire de Gouts Pas d'inscription demandée Évaluation du lieu 5 Nantes Une bonne cuisine maison et fraiche, variée, de qualité, un accueil plutôt sympa, un cadre agréable, je recommande vivement ! Blueca Évaluation du lieu 2 Lorient, Morbihan Cadre très agréable dans le jardin des plantes mais serveuses ou patronnes pas très chaleureuses et repas moyen, un endroit que je né conseille pas. Ninani Évaluation du lieu 4 Nantes Les menus sont excellents ! Ambiance feutrée, personnel pressé mais accueuillant mise à part le serveur turc pas trop cool On y mange très bien, bon rapport qualité prix. Alan_1 Évaluation du lieu 4 Saint-Herblain, Loire-Atlantique Vous né pourrez passer à côté de ce restaurant dans la partie Est de la rue Kervégan, sur l’île Feydeau. Le mélange baroque et rococo donne au restaurant un goût de lointain lustres à pampilles, pierres apparentes, biscuits aux murs, guirlandes lumineuses… L’ambiance… tantôt festive et conviviale, tantôt romantique et feutrée… l’alchimie est imprévisible. Quand au menu, unique et varié, vous apportera satisfaction. Après tout, cela n’est qu’une affaire de goût… Chouch Évaluation du lieu 5 Saint-Herblain, Loire-Atlantique Génial! Menu unique a 18euros entrée, plat, dessert au choix ds la carte. Personnel très agréable, ambiance conviviale… Et cuisine raffinée, que demander de plus? Davidn Évaluation du lieu 4 Nantes Ce jardin est magnifique, un havre de paix. Alors pouvoir y déjeunerje conseille à tous les voyageurs ferroviaires d’aller y faire une pause. GILD Évaluation du lieu 5 Paris Dans un cadre unique vous déjeunezPhoto linkau Jardin des plantes à Nantes, un lieu vraiment unique et plein de charme. Le café de l’orangerie dans un décor cosy, aux couleurs chocolat et fuchsia agrémenté d’une terrasse qui a vue sur la végétation du parc, vous propose un menu du jour et des plats à la carte. Le Dimanche osez le brunch avec ses confitures et l’après-midi le lieu, une atmosphère sans cesse à ouvert aux heures d’ouverture du Jardin.
XnUuSi. 152 198 84 52 465 293 437 331 133
l affaire du 7 rue de m